| Remember Dream |

[ Lucie en violet, Johnny en noir. ]

Lucie était dans sa chambre quand tout d'un coup, son gsm sonna... La jeune fille décrocha et entendit son père... Il s'agissait de sa famille. La mère de Lucie était souffrante. Alors, sans tarder, la jeune fille fit ses valises. Elle écris vite une petite lettre. Et dès qu'elle fut prête elel pris ses valises et alla au hall d'entrée. Là elle donna la lettre pour l'administration. Elle attendit un petit moment lorsqu'une voiture s'arrêta sur le parking. Un jeune homme, un émo boy, sortit de la voiture et vint prendre les valises de Lucie pour les mettre dans le coffre de la voiture. Il en ressortit d'autres valises, deux assé petites en noir.
- Je vais m'occupez de ton cheval...
- Mais Johnny, tu ne sais rien sur les chevaux !!
- Ton père veux que je le fais et mes parents veulent que je fasse d'autre chose, alors bon...
Lucie eu un regard légèrement inquiet, puis pour finir elle rentra dans la voiture et fit signe de main pour dire au revoir.
- Occupes toi bien de Lady Sunshine, hein ?!
C'est là que le voiture sortit du parking laissent le jeune homme tirer son plan...

Jo' se retourna vers le batiment principale... Doucement il ouvra la porte d'entrée se retrouvent dans le hall. I resta immobile en regardent autours de lui...

Rachel, était dans sa chambre, entrain de terminé de dernière minutes ses valises. Comme toujours avant chaque départ, la demoiselle ne savait jamais quoi prendre pour remplir sa valise, par doute, elle avait pris l’habitude avec le temps, d’emporter un maximum de choses et par préférence, de vider son armoire. Elle expliquait sans cesse à sa mère qu’elle ne sait jamais quelle tenu porter pour le lendemain, ni quel temps il fera. Comme la plupart des adolescents de son âge, elle avait le mot à tout, et bien évidemment, c’est elle qui avait raison. Elle restait là, debout devant son lit, face à sa valise grande ouverte, elle réfléchissait encore à se qu’elle aurait bien put oublier. Soudain, les bruits de deux tocs sur sa porte la réveillèrent de ses pensées en sursaut, c’était déjà l’heure.
« Rachel tu es prête ? »
C’était sa mère, elle devait sûrement l’attendre depuis quelques minutes déjà. Avec toutes ces préparations avant son départ, Rachel avait inconsciemment oublié le temps qui passe, et c’était donné quelques répits qu’elle n’aurait pas dut avoir, la tête dans les nuages à s’imaginer toutes les choses qu’elle allait pouvoir vivre là bas. Le cœur bondissant par l’émotion, et prise d’une légère panique, elle attrapa tout ce qui lui venait sous la main, peluches, photos, bonnet, bouquins, portable et fourra tout en vitesse dans sa valise avant de la fermer avec une légère brutalité.
« Oui maman j’arrive, encore quelques secondes et je suis prête ! »
- Très bien, dépêche toi quand même, nous t’attendons en bas à l’entrée.
Avant de quitter sa chambre, Rachel balada un dernier regard dans chaque recoin, puis ce n’est pas si grave, si jamais elle aurait oublié quelque chose, sa mère lui envoiera le nécessaire par la poste. Elle descendit avec hâte, le grand sourire aux lèvres, les marches de l’escalier, sa valise tirée derrière elle, elle manqua de tomber à chaque foulée.
« Te voilà enfin, embrasse ta sœur avant de partir, elle doit prendre son car pour le collège dans 3 minutes. »
- Voyons maman, ne trouves tu pas que nous sommes suffisamment en retard ?
- C’est l’hôpital qui se fou de la charité, après tout ce temps que tu as passé à te préparer, c’est pas un petit bisous qui te rendra plus en retard.
Rachel lui répondit avec un sourire amusé. Elle attrapa ses boots posés à l’entrée, et commença à les enfiler, tandis qu’une jeune demoiselle aux longs cheveux blonds s’approcha d’elle, c’était sa petite sœur de 12 ans, Julie. Elle avait du mal à mettre à l’idée que sa sœur ne serra plus à la maison comme avant. Rachel la serra dans ses bras et l’embrassa sur la joue.
- Ne t’inquiète pas, ce n’est pas comme si je partais pour toujours, tu devrais être contente pour moi, et puis il reste toujours le téléphone. Maman m’a dis qu’elle m’appellera tous les soirs, lui ai donné mes horaires.
Elle embrassa une dernière fois sa sœur, et sortit de la maison avec sa lourde valise, suivit de sa mère qui l’aidait à déménagé en tenant un sac à dos et un vaniti dans chaque main. Elle s’installa dans la voiture, prenant soin de mettre sa ceinture. Soudainement, son regard ce perdit dans le vide, voilà c’était le grand jour, elle allait rentrer dans une école d’équitation, posséder son cheval, réaliser son rêve de jeunesse. Elle avait encore du mal à réaliser, le temps est passé trop vite mais si lentement à la fois, elle était un peu perdu, mais une chose est sûr le bonheur et la fierté étaient là, et se manifestait assez désagréablement avec un cœur séré qui bat à toute vitesse et des crampes à l’estomac. Sa mère remarquant l’état absent de sa fille, prit le risque de quitter des yeux la route, pour poser son regard doux et maternelle sur elle en lui prenant sa main.
« Ne t’inquiète pas ma chérie, tout ira bien. Je suis si fière de toi, tu vas réaliser ton rêve. J’espère que tu réussiras aussi bien que ton succès dans le cinéma. Tu as beaucoup de chance. »
Les yeux brillant, Rachel lui souri avec reconnaissance, les mots étaient trop difficiles à sortir sans faire couler une larme.
Après pratiquement une heure de route, la voiture entra enfin dans le parking du domaine. Rachel avait trouvé le trajet un peu long et s’était endormi à quelques instant sans vraiment dormir, espérant que le temps allait passer plus vite ainsi. Sa mère se gara non loin du hall d’entrée pour éviter d’affliger à sa fille un trop long trajet avec tous ses sacs.
« Je suis désolé ma fille, je suis obligé de te lâcher tout de suite, j’ai pile une heure pour arriver à l’heure au boulot. Bonne courage pendant ton séjour, nous penserons très fort à toi. »
- Tu n’oublieras pas de me téléphoner hein ?
- Ne t’en fais pas pour ça, tu vas nous manquer. Je t’aime.
Sur ses mots, elle embrassa tendrement sa fille sur la joue avant qu’elle ne descende.
Après le départ de sa mère, elle avait demeuré seule dans la cours, immobile et entouré de ses valises, à regarder la voiture s’éloigner jusqu’à disparaître. Dépaysée, elle était hésitante à s’engager, elle ne savait pas trop quoi dire si elle croisait quelqu’un, toujours la peur d’être bête et ridicule. Mais elle n’allait pas rester là, raide comme un plante de salon au milieu du parking. Elle finit par se décider au bout de quelques minutes d’hésitation et d’interrogation. Elle tenta tant bien que mal à avancer normalement et le plus droit possible avec sa lourde valise derrière et ses deux autres sacs supplémentaire sur son dos et dans son autre main, voulant faire son entrée aussi discrètement que possible. Dans le hall, Rachel posa ses valises à côté d’elle, reprenant sont souffle et reposer son pauvre dos pas très habitué à traîner de lourdes charges. Elle rangea une mèche de cheveux derrière son oreille en baladant circulairement son regard dans le hall. Perdu et livrée à elle-même, elle ne savait pas où aller et désespérait déjà d’être égarée. Elle croisa le regard d’un jeune homme aux trait efféminé qui se tenait non loin d’elle, à en juger par les valises à côté de lui, il devait lui aussi être un nouveau. Rachel lui adressa un sourire de salut de compassion. Avoir espoir de voir un membre du personnel venir les accueillir, la demoiselle commença patienter sagement en décrivant du regard tous els éléments qui constituaient ce lieu magnifique. Depuis son départ de chez elle, son cœur n’avait cessé de battre fort et vite et ses mains étaient devenues légèrement moites. Elle était heureuse, de nouvelles aventures l’attendaient ici, dans ce lieu magique où elle va pouvoir enfin posséder son propre cheval.

[Pff... Beaucoup de blabla pour rien. x) Mais j'aime bien. xD ]

Le jeune homme fixait autours de lui. Chicent un chewing-gum en bouche faisant de temps en temps des petites bulles vertes au gout de la menthe. xD Quand une jeune fille, inconnue aux yeux de Johnny entrit... celle-cu avait fait un petit sourire à Johnny... Pfff, n'importe quoi ses jeunes. xD Enfin, fallait dire qu'il était dans le même 'problème' que elle. Le jeune homme soupira profondément avant qu'une dame d'acceuil vienne vers lui. Elle lui demanda tout le tralala avant d'aller avec lui, dans sa nouvelle chambre...

Rachel resta perplexe devant l’attitude de l’adolescent, ce devait être encore un de ces jeunes rebelles qui hait le monde entier et croient que chaque marque de gentillesse est une drague d’apprenti midinette. Elle haussa les épaules, après tout c’est son problèmes s’il n’acceptait pas une éventuelle amitié. Mais au fond, elle avait une boule à l’estomac, sa crainte d’une mauvaise intégration venait la prendre comme une rage de dent. Si même un nouveau n’acceptait pas de lui tendre la main, qui le ferait ? Les autres élèves doivent être bien dans leur monde avec leur groupe d’amis fermés et inaccessible à ceux qui sont arrivés en dernier. L’estomac noué, elle posa sa main sur au ventre, à présent mal à l’aise et anxieuse. Malgré que ce n’est pas son attention, pour seulement ce détails, qui est tout de même primordial, elle avait envie de rentrer chez elle et de retrouver les siens et ses habitudes.
Soudain, une voix de femme mûre prononça son nom par travers une des portes qui jonchaient le mur du hall d’entré. Sortit de ses angoisses, Rachel repris ses valises et s’avança timidement vers la porte où attendait une femme d’une quarantaine d’année, habillé d’un tailleur jupe rouge groseille. Ce devait surement être le secrétariat ou l’administration, bref quelque chose qui allait s’occuper de ses papiers d’admission à l’école et tout ce qui va avec. Un peu perdu dans tout ça, elle en voulait à sa mère d’être partie si vite, mais il fallait qu’elle mette une part d’autonomie dans chaque domaine, et pas seulement dans ceux qu’elle affectionne. Après quelques bien longues minutes qui flirtaient entre le un quart d’heure vingt minutes, Rachel sort enfin de la pièce, débarrassé de cette tâche qu’elle n’aime pas particulièrement, trop répétitif à son gout, c’est la même chose tous les ans.
Cette fois ci, elle n’attendit pas bien longtemps pour attendre qu’une autre personne l’accueille, quelqu’un l’attendait déjà à la porte du secrétariat. C’était une jeune femme, assez jolie, des cheveux bruns et court et les yeux noisette. Avec un sourire chaleureux, elle l’invita du regard à la suivre.
« Tu es Rachel c’est ça ? Je vais te montrer ton dortoir. Tu veux que je te débarrasse de quelques charges ? »
- Oui je veux bien, merci beaucoup. Depuis mon arrivée je me bats un peu avec mes valises, quand ce n’est pas une qui tombe, c’est l’autre.
Elle fut soulagé, non seulement pour le poids en moins qui pesait sur son dos, mais surtout pour cette étape difficile qui sont les premières paroles, ce sont celles-ci qui vont permettre aux inconnus de se tirer une première vue sur nous et cerné légèrement notre caractère. Pendant le trajet jusqu’au dortoir, elles demeurèrent silencieuse, malgré les infinies questions que l’adolescente voulait poser, mais elle n’osait pas, craignant d’être trop lourde et envahissante. Elle fit attention à chaque détail de l’établissement, les yeux émerveillés, elle les posait sur tout et n’importe quoi, aussi bien sur les extincteurs que sur les nombreux tableaux de chevaux qui étaient joliment disposés sur les murs. Au moins, si les relations entre élèves n’étaient pas le top, l’endroit lui plaisait, et ça compte beaucoup dans son estime, c’est comme un ré confortement au premier échec.
Elles étaient enfin arrivées. Il y avait trois portes disposées côte à côte séparé avec une certaine distance. La jeune femme lui montra la deuxième porte.
« Voilà, c’est ici. Il y a déjà du monde, mais ils ne sont pas bien méchants, normalement tu arriveras à t’intégrer. Mais il est possible que sa demande un peu de temps. »
Elle lui adressa à nouveau ce même sourire chaleureux et entra dans le dortoir pour poser ses deux sacs avant de partir et lui souhaiter bonne chance. Rachel la suivit du regard jusqu’à temps qu’elle disparaisse dans tournant du couloir, « l’intégration demandera peut-être un peu de temps … » elle espérait que cela ne dure pas éternellement non plus... Au même moment qu’elle allait entrer dans son dortoir, la tête du jeune de tout à l’heure de la porte d’à côté. Elle ne lui adressa aucun regard, s’il avait décidé d’être désagréable, elle, elle allait l’ignorer, à contre cœur certes, elle aurait préféré que les choses se passent autrement.

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